/// Erik ... à suivre ... \\\

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Week end du 14, 15 et 16 juillet 2006

Jeudi 13 juillet :

Céline arrive de Nantes à 20 heures. Rapidement, nous mangeons avec Mes parents avant de partir pour mon week-end surprise. Cadeau de mes 25 et 26 ans.

La voiture prête, nous prenons la route d'un lieu encore mystérieux pour moi à 21 heures.

Premier indice, nous passons par Bordeaux. Donc à priori, nous descendons vers le sud !

Périph' de Bordeaux…direction Langon. Ca se précise, on laisse tomber la côte landaise et Basque. Les Pyrénées semblent bien en vue ! Effectivement, sortie Langon, nous prenons la route d'Aire sur Adour pour joindre Tarbes. Pour ce soir, nous stoppons un peu avant Aire sur Adour et nous y dormons bien installé dans le Scudo !

 

Vendredi 14 juillet :

Ca y est, retour sur la route après un petit déj' rapide. Direction Tarbes tout d'abord. Arrivée à Tarbes, nous reprenons l'autoroute...sortie ? Lannemezan ! Ahhh ! Donc Céline me donne la destination définitive : Saint Lary Soulan ! Je l'avais pressentis ! Déjà un an que ce week-end se prépare, j'avais envisagé de nombreuse destination, dont celle la. Un week-end à la montagne pour profiter des activités principales…mais lesquelles ? Je ne le sais pas encore…

D'ailleurs, dès notre arrivée à Saint Lary, au environ de midi, nous mangeons rapidement pour la première activité prévue ??? Suspens !

Rendez vous fixé à 14 heures au Téléphérique. Nous nous y rendons, c'est un parapente qui nous attend ! Ma première surprise, offerte par les parents de Céline.

Malheureusement, le moniteur qui doit voler avec moi nous annonce qu'il ne sera pas possible de voler cet après midi, des conditions trop risquées, des orages trop proches. Bref, il nous invite à revenir dimanche matin. Parfait, rien n'été prévu le dimanche matin et les conditions météo sont bien plus propice le matin. Tant mieux ! Ce n'est que reporté.

L'activité de l'après midi étant annulée, nous nous retrouvons sans activité.

Nous marchons dans les rues tout en réfléchissant à ce que nous pourrions bien faire. Nous allons à l'Office des Sports de Montagne pour confirmer le vol de dimanche matin, et Céline vient confirmer une des autres activité prévue. On profite de l'office du tourisme pour voir les prospectus mis à disposition. Nous tombons sur un accrobranche qui nous attire particulièrement avec Céline. Elle appel pour se renseigner, il reste des places pour 16 heures, nous réservons donc.

En attendant, nous stoppons dans un bar pour nous reposer quelques instants et regarder un bout de l'étape pyrénéenne du Tour de France.

16 heures approche, nous prenons la voiture pour remonter au lieu dit le Pont de Moudang. Il s'agit d'un parcours suspendu avec accrobranche, tyrolienne, via ferrata, et d'autres balanciers, le tout suspendu au-dessus d'une rivière au beau milieu d'une vallée magnifique.

Les harnais installés, nous avons le droit à une petite explication avant de commencer notre avancée accrochés au fil d'ariane.

Nous commençons gentiment par un pont, puis un deuxième un peut plus périlleux avec des balanciers plus prononcés, puis une via ferrata rendu glissante par l'orage, mais malgré tout nous restons à l'abris et évitons la pluie.

Après de nombreux passages de rivière, sur des troncs d'arbres couchés, puis d'autres ponts et encore des via ferrata, nous voilà devant un obstacle particulier. Devant nous, la rivière ! En face, un tapis enroulé autour d'un câble. Nous sommes sur une plate-forme et nous nous préparons à jouer les tarzans ! La traversée est d'a peu près une vingtaine de mètre.  Céline s'élance, ne réussi pas à s'agripper au tapis, et se retrouve suspendu au-dessus de la rivière. Un des moniteurs la récupère de l'autre côté. La voie libre, je m'élance à mon tour, sensation de vide, puis rapidement le tapis se rapproche, je réussis à l'agripper à la manière d'un rugbyman plaquant un adversaire. Ca y est j'ai réussi !

Nous continuons à monter la vallée, puis nous arrêtons devant une petite tyrolienne d'une cinquantaine de mètres. Nous dévalons le long du câble pour nous retrouver au pied d'une via ferrata, les pieds presque dans l'eau. Nous montons à nouveau pour nous rapprocher du point le plus loin de la vallée.

Nous arrivons sur une nouvelle plate-forme, en haut d'une première tyrolienne de près de 250 mètres de long ! Nous nous accrochons puis descendons avec vue imprenable sur la rivière une vingtaine de mètres en dessous. Nous passons entre quelques arbres puis nous nous réceptionnons sur un coteau sans aucun problème. Nous enchaînons sur une deuxième, la plus longue, 310 mètres de long…de quoi profiter du paysage ! Nous nous élançons chacun notre tour sans trop savoir où puisque la vue et obstruée par les arbres ! Nous découvrons le paysage au fur et à mesure de notre avancée. La rivière défile sous nous. Nous sommes réceptionnés en haut d'un arbre, sur une nouvelle plate-forme, pour terminer l'heure et demi de notre parcours par une dernière tyrolienne de plus de 200 mètres. Nous survolons cette fois ci un terrain vert et nouvelle rivière avant de nous retrouver sur un terrain plat ou nous pouvons retirais notre matériel.

Pas de parapente aujourd'hui, mais de belle sensation sur un parcours improvisé dans le programme du week-end mais bien sympa !

Nous rendons le matériel, et reprenons la route de Saint Lary.

Nous nous rendons au Bureau des Guides, il se trouve qu'un nouveau petit problème est survenu, nous ne sommes que 2 pour la sortie du lendemain, et il faut être un minimum de 4. Céline me demande de venir, il nous faut prendre des combinaisons, et pour cela les essayer. Il s'agit effectivement de canyoning ! Je n'en ai jamais fait, j'en suis ravi ! La fille nous tiendra au courant s'il y a du nouveau. Pour l'heure, le rendez-vous est fixé à 8heures le lendemain matin.

Nous trouvons un terrain abandonné ou nous installons la douche solaire pour une petite douche chaude bien agréable !

Tout propre, habillé et ravitailler, l'heure et déjà bien avancée. Céline reçoit un appel pour l' « épreuve » du samedi, puis vient me retrouver, ça y est, 4 autres personnes se sont inscrites pour le parcours canyoning initiation rappel ! La journée de demain s'annonce sympa !

Suite à cette bonne nouvelle, nous dînons au camion. Le week-end parfaitement bien programmé, nous partons pour le centre de Saint Lary ou un cabaret se produit. Chanson, danse, tout y est. Malgré le temps menaçant, tout se passe bien. 22 heures, le bal se termine, direction maintenant le stade pour le feu d'artifice du 14 juillet. Le feu tiré de l'intérieur du stade, une nuée de spectateurs s'installe sur la rue périphérique.

3 coups en l'air, ça y est le feu commence. Magnifique avec la résonance dans la vallée, impressionnant !

Après de nombreuses couleurs et une multitude de pétarade, le feu se termine, et tout le monde repart dans sa direction. Céline et moi repartons à la voiture nous coucher, demain, une journée fatigante nous attend, surtout qu'avec la nouvelle que nous avons eu, l'heure de départ à été avancée d'une heure en raison d'un parcours un peu plus long que celui prévu initialement.

 

Samedi 15 juillet :

Réveil 6 heures !

Rapidement nous nous préparons. 7 heures, rendez-vous devant le magasin pour un départ groupé vers le canyon. Le canyon se trouve au pied du Mont Perdu du coté espagnol.

Nous passons le tunnel de Bielsa, puis continuons à suivre notre guide. Après 1h30 de route, nous atteignons le haut d'une petite route ou se trouve un « village » de 4/5 habitations, avec apparemment 1 habitant à l'année…courageux !

Nous stationnons nos 3 voitures l'une  coté de l'autre, puis commençons à nous harnacher. Vieilles chaussures, casques, baudrier, cordes et sacs avec nos repas et matériels à l'intérieur. Nous voilà un groupe de 7. Notre guide en tête, deux couples de jeunes, Céline et moi. Nous voilà parti. Au bout de 200 mètres, nous voilà dans en haut d'une pente bien raid et rendue glissante par les orages nocturnes. Nous descendons attentivement de quelques mètres, prenant appui aux arbres, pour arriver cette fois ci au début de notre périple. Notre guide installe les cordes pour que nous puissions commencer à descendre en rappel le canyon à sec qui nous amènera au canyon en eau. Trois rappels nous attendent, tous d'une vingtaine de mètres, le plus grand de trente mètres.

La corde installée, je m'engage le premier sur ce rappel rendu glissant aussi par les pluies récentes pour arriver sur une plate-forme ou je me charge d'assurer mes successeurs. Les uns après les autres, nous arrivons tous au pied de la première paroi prêt à continuer notre chemin. Nous enroulons au fur et à mesure les cordes ayant servies, pour un transport plus facile.

Rapidement, nous atteignons le deuxième rappel, même hauteur, avec en plus un petit, très petit passage suspendu. Sympa pour une initiation ! Nous nous retrouvons tous les 7 entre deux rappels, les pieds dans l'eau, serré les uns contre les autres, pour installer le dernier et plus long rappel, d'une trentaine de mètre. Maintenant habitué au manège, nous descendons les uns après les autres et lovons cette fois ci nos cordes pour un long moment. Il ne reste maintenant que de la désescalade dans des éboulis de gros rochers. Nous nous frayons un passage entre les blocs, sautons et glissons pour enfin arriver là où une vue magnifique nous attendait. Nous dominons maintenant la rivière transparente. L'appétit creusé par nos premières émotions, nous arrêtons sur le bord de l'eau pour manger avant de commencer la progression aquatique. Au menu, sandwich…eau de torrent…et pus c'est tout ! Une petite demi-heure, et nous voilà reparti. David, notre guide, en tête, nous indique le chemin. Nous sautons de rocher en rocher, parfois nous traversons des bassins. Rapidement, nous voilà devant notre premier défi…7 m de haut ! En bas, un bassin. Certain plonge, les gars, d'autres descendent en rappel, les filles. Pour ma part, petite appréhension. Sauter 7 mètres d'entrée, entre deux parois malgré tout étroite, j'hésite un peu. Et puis Nicolas saute. Je lui emboîte le pas pour me retrouver entièrement immergé dans l'eau glacée. Après quelques minutes, tout rentre dans l'ordre, nous voilà hors de l'eau. La progression reprend. Dès qu'un saut se profile, nous nous y précipitons ! Les sauts paraissent plus faciles, 2 mètres, parfois 3 m. Pas de grand-grand saut, mais nous y prenons plaisir. Dans le canyon, personne d'autre que nous, c'est magnifique.

Et puis, après un long moment esseulé, nous croisons notre premier et seul groupe de la journée. Des jeunes en pleine pause déjeuné. Nous continuons. Juste après, le fameux « trou du noyé ». Un trou inondé, dans la roche, avec un toboggan naturel pour y accéder. Ce trou  est relier à la rivière par un mini tunnel sous-terrain. Difficulté, le tunnel forme un coude sous l'eau ! Céline est la première à s'y glisser…magie…elle ressort de l'autre coté ! Puis nous l'imitons chacun notre tour, 2, 3 fois pour certain (dont moi !) qui ne nous en lassons pas… Nos jeux terminés, nous décidons de reprendre la « route ». Le canyon avance, bientôt le terme de l'expédition. Quelques glissades sur des toboggans improvisés. Et puis le clou du spectacle. La fin du canyon est annoncée 100m plus loin…mais entre nous et le sentier qui nous ramènera à la voiture…une chute de 13m !

David, serein, nous demande si certain veulent tenter le « grand saut ». Nicolas et moi nous regardons… « oui » ! Ca y est c'est décidé !

David nous fait descendre jusqu'à la « zone de lancement ». Nous regardons en bas…une belle baignoire grande et profonde, transparente. Mais bien sure, 13 mètres…ça fait haut !

Je recule vite ! Partis pour sauter le premier, je persuade Nicolas de prendre les commandes. Il hésite, reste quelques secondes au-dessus du vide. Nous lui faisons le décompte pour le motiver…trois…deux…un…c'est parti ! Petite glissade sur son pied d'appel…mais le saut se déroule parfaitement. Quelques mètres plus bas, PLOUF ! Je me rapproche du bord, et le vois tout heureux dans l'eau d'avoir réussi. Je suis maintenant à sa place, le cœur palpite, je me suis promis de le faire…alors je le ferais ! Je sais que plus j'attends et plus il me sera difficile d'y aller. En haut, les autres se préparent pour descendre en rappel. Je suis donc presque seul, je me fais le décompte tout seul…trois…deux…est ce que je vais arrêter de compter ? …Non, un… hop ! Les yeux fermés, le saut me semble durer longtemps ! Et puis…PLOUF ! Le souffle couper, je reste un interminable moment sous l'eau. Je bas des bras et des jambes pour retrouver la surface. Dehors, je reprends une grande respiration et pousse un grand cri, à la tarzan…allons-y gaiement ! … Trop heureux d'avoir franchi le pas !

Content, je rejoins le bord de l'eau d'où je peux voir Céline là-haut. Fière de ma victoire !

Et puis, les uns après les autres, ils descendent tranquillement le long de la paroi, avec un final suspendu, pour un atterrissage dans l'eau. Tous de retour sur « Terre », nous voilà maintenant arrivés au terme de l'aventure. Nous déballons nos sacs, enlevons nos harnais, nos combinaisons, histoire de les rincer, puis prenons le soleil pour nous réchauffer un peu. Quant à moi, je fonce dans un bassin en maillot de bain, pour me « rafraîchir » et me dégourdir un peu après tant d'heure dans la combinaison.

Quelques instants plus tard, tous fin prêt, nous nous engageons sur un sentier qui nous ramène à la voiture.

Nous rangeons le matériel, et après avoir salué nos compagnons de la journée, nous reprenons la route direction la France sous un temps menaçant et quelques gouttes d'eau.

Nous revenons à Saint Lary vers 16 heures. Une nouvelle fois, nous errons dans les rues. Céline rend visite à l'Office des Sports pour la confirmation des activités du lendemain.

La journée nous a bien fatigué, nous ne tardons pas à rejoindre la voiture pour nous passer quelque part et y faire une grosse nuit reposante.

 

Dimanche 16 juillet :

Réveil tranquille…ouf ! Ce matin, le rendez-vous pour le parapente du vendredi est fixé à 10h. Ce qui nous permet de nous reposer et de nous préparer tranquillement.

9h55, nous arrivons au téléphérique. Nous retrouvons le moniteur déjà rencontré deux jours plus tôt. Tout est ok. Les conditions météo idéales, le paysage comme d'hab' superbe. Le vol s'annonce sous les meilleures conditions !

Nous prenons la première cabine qui se présente et montons en direction du Pla d'Adet. Au lieu du cyclisme et chère à l'Ami d'Armstrong, Pascalou Coïc ( ;-) ).

Quelques minutes plus tard et nous descendons pour directement nous installer sur l'air d'envol. Le parapente déplié, les harnais fixés, nous voilà prêt à voler. Alors que nous prenons notre élan, un collègue nous stoppe…nos fils sont emmêlés ! Nous arrêtons tout. La voile retombe par terre, nous nous désinstallons. Mon moniteur déplie à nouveau la voile, nous réinstalle, et nous voilà parti pour un second essai une foie le vent de retour.

Une petite course d'élan en binôme. La voile gonfle. Nous porte. Ca y est, nos pieds ne touchent plus sol…nous voilà parti pour 45 minutes dans les airs à dominer la vallée de Saint Lary.

Nous planons paisiblement ainsi tout en discutant et en observant le paysage.

Le sol se rapproche maintenant, plus qu'une cinquantaine de mètre, petit briefing avant l'atterrissage. La zone arrive…je me mets en position…je commence à courir pour anticiper, je touche le sol, mon moniteur aussi, nous courrons quelques mètres avant le stop final. Pas de problème, il ne reste maintenant plus qu'à plier la voile et remettre tout dans le sac. Opération rondement menée. En à peine 5 minutes, mon moniteur est prêt pour repartir dans les airs…mais cette fois ci sans moi.

Car pour Céline et moi, le week-end n'est pas encore terminé. Mais avant la dernière aventure encore inconnue pour moi, il nous faut aller manger. Pour cette dernière épreuve, je sais seulement que Céline la fera avec moi, ce qui n'était à l'origine pas prévu.

En attendant l'heure du rendez-vous, nous trouvons une petite air tranquille pour manger. Nous avons un peu de temps…nous en profitons pour lézarder sous le soleil de midi avec mots croisés et Sudoku.

Un groupe déluré installé à une table voisine nous fait bien rigoler, mais l'heure approche, il est 13h45, nous sommes juste à coté du lieu du rendez-vous. Nous partons.

Sur la petite base de loisir ou nous arrivons, kayak, rafting, hydro-speed…bref, le choix s'offre à nous ! Mais pour l'heure, c'est de l'hydro-speed que nous nous apprêtons à faire. Je n'en ai jamais fait, c'est un week-end plein de nouveauté pour moi !

A l'accueil, un mono nous indique l'endroit ou prendre combinaison, puis casque, palme, l'hydro-speed étant acheminé au lieu de départ directement.

Nous essayons les combinaisons, les taille son bonne, mais nous retirons les hauts. Avec les renforts un peu partout, on se retrouve immobilisé dedans et il devient difficile de bouger.

Après une petite attente à l'ombre, le groupe d'une trentaine est formé et nous rejoignons le bus qui nous mène jusqu'au lieu de départ.

Chacun d'entre nous récupère son flotteur, les moniteurs nous expliquent les bases avant la mise à l'eau, et enfin, nous partons nous immerger. Un grand bonheur après avoir littéralement cuit dans nos tenues. L'eau est fraîche, sale suite aux orages nocturnes, mais reste agréable. Nous partons tous dans le courant, mettant en pratique les conseils précédents, Céline et moi faisons la course, nous arrêtons, esquimautons, bref nous nous amusons bien !

Les techniques s'affinent, nous arrivons bientôt à un barrage. Bien sure, pas question de sauter la chute créée par le barrage. Une rampe a été aménagée sur le coté pour permettre aux canoës de passer sans passer par la terre ferme. Alors pour nous, même topo que les bateaux. Nous empruntons la rampe les uns après les autres, les genoux frottent, mais rapidement nous voilà projeté en bas avant de heurter la rivière. Belle glissade qui pour certain laissera des bleus aux membres.

Tout le monde en bas, nous continuons notre progression à travers rapides, haut fond, avec toujours quelques exercices proposés par les moniteurs.

La descente dure une grosse heure qu'on ne voit pas passer, puis arrive le terme de notre parcours aquatique. Un dernier challenge est proposé par les encadrants, des rochers placés dans un resserrement forme une grosse vague surfable. Le but est de rester au creux de la vague. Tour à tour, nous nous relayons pour surfer plus ou moins longtemps. Malgré le courant, une fois installé, nous voilà calé dans la vague, plus un cou de palme à donner ! Pour pimenter le tout, j'ai essayé en vain de rester dans la vague en esquimautant,  mais mon manque de rapidité ne pardonne pas et je me retrouve éjecté dans le courant.

Nous sommes passé plusieurs fois chacun, puis est arrivé l'heure de rentrer, nous avons donc terminé les quelques mètres qui nous séparés de l'arrivé. Le matériel rangé, nous regagnons le bus pour un retour rapide sur la base de loisir.

Notre beau week-end arrive à son terme, nous nous changeons avant de prendre la route du retour. L'orage monte sur les montagnes, à tel point que sorti de la chaîne pyrénéenne, les sommets disparaissent bien vite sous un sombre manteau nuageux.

Rapidement, dans des paysages plus plats, nous retrouvons un grand soleil qui nous accompagne jusqu'à l'arrivée à destination, La Palmyre.



02/08/2006
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